La nuit n’est pas sûre à Mennecy

Quelle ne fut pas la surprise de l’un de mes colistiers lorsque vendredi soir il lui sembla, en sortant de chez lui, distinguer une ombre en pleine distribution de ses boules puantes dans les boites aux lettres de son quartier.

Descendant de voiture pour entamer la discussion, il s’avéra fort dépourvu.

En effet, ce volatile aux plumes noires était un roi du camouflage. A peine avait-il senti une présence humaine qu’il se volatilisait dans les espaces publics des Myrtilles tel Speedy Gonzalez.

Intrigué, Jean-Marc Rita-Leite, puisque c’est de lui qu’il s’agit décida de voir si il retrouvait notre homme, des fois qu’il se serait perdu dans la nuit menneçoise, une nuit bien dangereuse à en croire les écrits des candidats des oppositions de tout poils.

Fort heureusement, après un quart d’heure passé à sillonner le quartier des Myrtilles, il finit par retrouver ce Monsieur qui opérait en couple, afin certainement de se donner le courage qui lui faisait défaut pour réaliser ce qu’il considèrait certainement comme un noble exercice démocratique…

Loin de le violenter, ou de l’agresser comme s’y attendait ce triste sire, il tenta de dialoguer avec lui.

Il demanda ainsi à ce couple figurant sur la liste de Monsieur Richomme, notre candidat défroqué de « gauche honteuse » si il trouvait normal de distribuer de nuit et quasiment masqué, trois jours après que notre centre ville ait été taggué (http://www.jean-philippe-dugoin.fr/dugoin-voleur/) un article infamant de médiapart sans même oser le signer (pour plus d’infos : http://www.jean-philippe-dugoin.fr/indigne-mediapart/).

L’homme d’habitude plus disert, sans doute pris devant sa femme d’une irrésistible crise de… trouille, ne savait plus que dire en boucle « A titre personnel j’ai le droit de distribuer, à titre personnel j’ai le droit de distribuer, à titre personnel j’ai le droit de distribuer, à titre personnel j’ai le droit de distribuer, à titre personnel j’ai le droit de distribuer… ».

Ayant pitié de lui Jean-Marc Rita-Leite lui demanda alors pourquoi lui et M. Richomme n’assumait pas leur campagne basée sur la seule mise en cause insultante et la seule volonté de salir, de détruire ?

Sa seule réponse fut « C’est signé médiapart »…

Une grande preuve de courage de la part de Monsieur Henri Perrin, candidat sur la liste de quelqu’un qui aspire à devenir Maire de notre commune et qui n’hésite pas, pour essayer d’arriver à ses fins, à demander à certains de ses colistiers de s’abaisser très très bas.

Je ne sais pas d’ailleurs ce qui est le plus grave : Qu’un candidat s’avilisse à cela ou qu’il trouve des personnes pour accepter de se prêter à une telle mascarade ?

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