A Mennecy, la gauche honteuse a déjà perdu sa voix !

Il y avait beaucoup de monde vendredi soir pour assister à la dernière séance du conseil municipal de l’année 2013, et peut être de la mandature qui s’achèvera en mars prochain.

Il faut dire que pas moins de 59 points étaient à l’ordre du jour, parmi lesquels de très nombreux sujets intéressant de très près la vie des menneçois.

Adoption de l’Agenda 21 local, ajustements budgétaires, décisions d’urbanisme, attribution des subventions aux associations, travaux dans les écoles, reconstruction de la maison des jeunes, motion contre le scandaleux redécoupage des cantons que veut nous infliger l’état PS… le programme soumis à l’examen et au vote des élus était copieux et les rapports sérieux et circonstanciés.

L’opposition municipale, clairsemée (4 conseillers de la gauche honteuse sur six étaient présents) et peu soutenue dans l’assistance, fut particulièrement atone !

Aucune intervention sur les délibérations présentées, une seule et bien timide explication de vote, aucune question ou prise de position  sur les importants rapports annuels d’activité concernant la commission communale d’accessibilité, la qualité des services publics de l’assainissement, de l’eau ou du gaz (SIARCE), la qualité et le prix du service public d’élimination des déchets ménagers (CCVE) ou la délégation de service public  pour la restauration scolaire (ELIOR), par exemple.

On ne peut pas dire que M. Richomme et ses amis aient beaucoup participé à l’amélioration des conditions de vie de notre collectivité !

Etonnant ce silence « assourdissant », de la part d’un candidat toujours prompt à dénigrer et à salir, prétendant défendre l’intérêt des habitants et se présentant déjà comme celui qui dirigera notre ville dès mars prochain !

Déjà à court d’idées, la gauche honteuse de Mennecy ?

Pas intéressée par des sujets qui vont pourtant impacter la vie de nos concitoyens dans les mois et les années à venir comme l’adoption de l’agenda 21, la prise de rang de la commune dans les programmes d’attribution de subventions, ou la conclusion de conventions ou de contrats d’objectifs avec différents partenaires de la ville ?

A moins que le candidat « socialiste sans étiquette » considère que le conseil municipal n’est plus le lieu privilégié du débat démocratique et qu’il préfère s’exprimer uniquement dans ses tracts bleu marine, étant ainsi certain de ne pas rencontrer de contradiction ?

A ne plus l’entendre, on constate que Monsieur Richomme a déjà perdu la voix .

Il se pourrait bien qu’en mars prochain, les menneçoises et les menneçois ne lui accordent pas la leur !

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